box d'Ogara

Mes bottes claquetaient sur le sol pavé de l'écurie. Ogara me reconnaissait de loin grâce à cela. Elle sortit la tête et s'ébroua. Puis, je la sortis, et l'attacha à l'ombre pour éviter, même si je la laisser là juste le temps de l'harnacher, les coup de soleil ou de chaleur. Ensuite, je la brida, et lui mis le matériel pour le travail en longe ; le licol, la longe ..... Pour moi comme pour la jument, c'était la première fois qu'on pratiquait ce genre de travail. Donc, aprés l'avoir brider, je la monta à crue et la dirigea vers le rond de longe.

Une fois séche, je ramena Ogara au box, mais avant de la rentrer, je lui fis un bon pansage. Pour moi, le pansage était un moment intense en confiance entre le cavalier et sa monture. En effet, le pansage permettait aussi de ralentir le rythme cardiaque du cheval pansé. Après ce pansage, je pris quelques gouttes d'huile essentielle de lavande dans mes mains ,l'appliquai sur le dos d'Ogara puis massa en petit cercles. Aussitôt, celle -ci commença à se detendre, et bientôt, on put croire qu'elle s'endormait. Aussi, j'arreta d'en faire, lui donna sa ration d'avoine, puis lui changea son eau et la rentra.

Ce matin, je vins voir Ogara tôt, un peu plus que d'habitude. Parce qu'après, j'avais une sortie en ville avec le collège. Et oui, un dimanche !!! Donc je bridai Ogara et pris la direction de la plage, où je promenerai un peu ma monture. Piquer un petit galop dans le sable provoque tant des sensations !!! Je lui passa juste sa longe, et montai à crue, me servant de la longe comme rênes.

Lorsque je ramena Ogara au box, elle était encore toute retournée de ce qu'elle avait vu. Soudain, je pensa à Willy, je n'avais même pas pensé à le prendre !! MMais d'un autre côté, je n'aurais pas pu voir les chevaux sauvages comme ça avec Willy, qui n'aurait fait que aboyer !!! Pour éviter que le sel forme des crevasses dans les sabots d'Ogara, j'alla lui faire prendre une bonne douche !!!!

Après que Ogara eut séché, je la ramena aux écuries, et lui changea son box. J'allai prendre la brouette, et cura son box. Une fois finis, je lui mis de la paille bien propre, lui lava et rinça son seau d'eau, et lui remis ensuite de l'eau propre. Ensuite, je la rentrai, et lui donnai sa ration d'avoine et de son. Je repensai aux chevaux sauvages aperçut tout à l'heure, et cherchai un moyen de questionnai Linoa à ce sujet. Le mieux était d'aller la voir carrément dans son bureau. Je lança un : " Au Revoir et A Demain " joyeux à Ogara en m'éloignant vers mon appartement où j'irai promener Willy .....

Quand j'arriva prés des écuries, je fus contente de retrouver l'odeur des chevaux, et du foin. Je caressa Ogara et lui dit :

- " Ah, vivement les vacances !! En plus, je pourrais te voir plus souvent et surtout plus longtemps !!! Allez, maintenant, on arrête de réver et on se met au travail !! "

Pour guise de réponse, elle me donna un coup de tête, puis s'ébroua. Je la sortie, l'harnacha, puis la monta, et nous quittâmes l'écurie au trot pour aller s'entraîner un peu au dressage .....

Ogara sortie de sa séance de dressage de bonne humeur, et même si elle ne semblait pas vraiment aimer la discipline, elle s'en était très bien sortie !!!! Ensuite, une fois rentré au box, je la pansa avec soin, puis lui ifs quelques massages simples, parce qu'elle n'était pas du tout stressé, ni contracter. Ensuite, je lui mettai la couverture parce que les nuits étaient froides. Puis je la rentra, avant de lui faire une dernière petite caresse et de m'éloigner en courant vers mon appart .....

En arrivant devant le box d'Ogara, elle semblait surprise que je sois déjà là. Elle était encore couchée, mais lorsqu'elle me vit, elle se leva et s'ébroua puis s'approcha pour demander des caresses. Je lui caressa le museau et entrpris de la sortir de son box pour la seller. Je l'emmenais faire une petite séance de CSO, et ensuite :

- " Après la séance de CSO, je t'amène à la piscine, ça te va ?? "

Pour toute réponse, elle hennit doucement. Une fois sellée, je me hissai en selle et la dirigea vers la carrière d'obstacles .....

Revenu du solarium, je rinça le seau d'eau d'Ogara, et promis d'en acheter un autre étant donné que celui-ci ne dururait pas lomgtemps encore ; il était déjà fissuré. Ensuite, je lui remis de l'eau fraîche et de la paille propre. Je remplis sa mangeoire, et enfin, une fois cela fait, je la rentra et lui dit :

- " Demain, ce sera les vacances !! A partir de là, et pendant une semaine et demi, je pourrais m'occuper de toi beaucoup plus longtemps !! Bon, aller, maintenant, je m'en vais, a demain ma belle. "

Elle me répondit par un bel hennissement, et je m'éloigna vers les appartements ...

Après un gros petit-déjeuner, je décidai de m'occuper de Tulipe. Pour aujourd'hui, j'avais prévu d'essayer quelque chose de nouveau, que je n'avais jamais fait avec elle. Il s'agissait de consolider la confiance entre nous. On appelait cela la technique du consentement. Je l'avais découvert dans le livre de ma grand-mère.Donc, j'entra dans le box, et sauta au cou de Tulipe, qui était un peu surprise :

- " Waouh, enfin les vacances !!!! C'est les vacances, c'est les vacances !!!!!" m'écriai-je avec joie.

Puis, je sortis Tulipe de son box, et accrochai une longe à son licol. Ensuite, je la montai à crue jusqu'au manège d'entrainement, en passant prendre Willy lorsque nous passâmes devant mon appart.

Lorsque je ramena Ogara au box, elle était blanc d'écume. Je lui passa un chiffon doux et humide pour la nettoyer. Puis je l'étrilla soigneusement. J'en profita pour la masser avec de l'huile essentielle de lavande. Je l'appliquai en petits cercles concentriques, avec douceur. Peu à peu, je sentis ses muscles se détendre sous mes doigts. Je continuai ainsi un moment, puis lui passa une couverture légere, car il na faisait pas trop froid, mais il faisait frais quand même. Je lui rempli ensuite sa mangeoire, sous les yeux attentifs de Willy, couché dans la cour, et de Ogara. Puis lui cura son box, et changeai sa paille à l'aide d'une fourche. Une fois tout cela effectuait, il ne me manqua plus qu'à la rentrer, puis je me dirigeai vers mon appartement en compagnie de Willy ....

Ce matin-là, je vins voir Ogara de bonne heure. Elle m'accueillit avec joie. Jela sortis du box et voulus lui passer son harnachement maiscelle-ci s'ébroua et battit l'air de la queue.
- " Arrete !! " lui criai-je d'un ton ferme.
La jument, toute étonnée de ma réaction, baissa la tête et se tint tranquille.
- " Tu es fachée ? Oh excuse-moi ma belle !!! Et sinon, ça te va une ballade pour aujourd'hui ??" lui dit-elle en lui donnant une pastille à la menthe, qu'elle happa aussitôt dans un hennissement joyeux. Une fois harnacher, je passai prendre Willy dans mon appartement, qui lui, d'ailleurs, n'attendait que ça, et j'allai me promener.

Quand je passai prés des appartements, je sifflai Willy, qui accourut aussitôt. Je mis pied à terre, et le félicitai en le caressant et en lui prompromettant que, arrivé à l'appart, il recevrait un steak pour chien. Quand à Ogara, je lui fis quelques massages, pour la détendre et lui faire oublié se qui venait de se passer. Je me promi intérieusement d'en parler à Linoa dés que je la verrais. Ainsi, je passai environ une demi-heure à masser et détendre Ogara. A la fin, je décidai d'arreter car elle avait posé sa tête sur mon épaule et avait fermé les yeux !! Puis, elle fourra son museau dans mes mains, et lui donna ce qu'elle cherchait, une pastille à la menthe. Enfin, je lui nettoya son box, et lui remplis sa mangeoire, puis la rentra dans son box et rentra chez moi, en compagnie de Willy, qui me suivait derrière .....

Aujourd'hui, c'était séance d'obstacle pour Ogara. En effet, cela la fera se dépenser. J'arrivai aux écuries un peu endormis. Mais toutes les odeurs me réveillèrent brusquement : l'odeur du foin, des chevaux, leurs hennissements, l'académie était déjà reveillée depuis déjà un bon moment !!! J'arriva au box d'Ogara et fut accueillis, comme tous les matins, par un bel hennissement. Je la sortis, le brossai un peu, puis l'harnachai. Ensuite, je me dirigeai vers la carrière d'obstacles, en tenant Ogara en main.

( Séance d'obstacle )

Une fois revenus de ma séance d'obstacle, je revins aux écuries à cheval, en mettant Ogara au trot. Celle-ci, toute contente d'accélérer un peu, passa au trot rassemblé, levant bien haut les antérieurs. Je lui nettoya son box et lui étala ensuite de la paille fraîche. Ensuite, je lui remplis sa mangeoire d'avoine et son abreuvoir d'eau propre. Puis, je lui remis du foin dans son filet, parce qu'elle avait tout manger, et le reaccrochai sur la porte du box. Puis, je lui fis une dernière caresse en lui offrant une pastille à la menthe, et m'éloigna vers les appartements .....

J'arrivai devant le box de Ogara toute contente, suivis par Willy. J'entra dans son box, elle s'approcha de moi, et frotta sa tête contre la mienne. Alors, je lui offrit une pastille à la menthe, sachant que les chevaux qui n'aiment pas les pastilles à la menthe sont très rares !!! Je sortis Ogara, l'attachai avec sa longe à la grille du box, la pansai, puis la bridai. Cela fait, je grimpai sur son dos et partis faire une séance de dressage dans le manège couvert, il ferait moins froid que dans la carrière, qui est à ciel ouvert ......

( Séance de dressage )

Après une bonne séance de dressage variant des figures simples ou complexes, je ramenai Ogara aux écuries, toujours suivie de Willy. Celui-ci suit tranquillement, et ne bouge pas. Il reste toujours avec moi. Je rentrai aux écuries au trot, écoutant le pas de ma jument sur le sol pavé des écuries. Je mis pied à terre devant l'écurie, et entreprisde masser un peu Ogara, puis de l'étriller. Au final, elle miroitait, sa robe charbonneuse brillant comme un vrai miroir. Une fois pansé, je lui tressai la crinière en fines tresses. Elle ne bougeait pas, étonnée de ce que je lui faisait.Quand j'eus terminé, elle s'ébroua, et je la rentrai ensuite au box.

Ce jour-là, la pluie était au rendez-vous !! Ogara, a mon approche, sortit la tête par dessus la demi-porte du bas du box. J'avançai et, arrivé devant le box, lui caressai le chanfrein longuement. Elle aimait beaucoup ça et, lorsque j'arretai, elle hennit fermement pour que je continue.

- " Eh, on n'esyt pas ici que pour se faire caresser, mais pour travailler aussi je te rappelle !! Aller, au travail !! "

Sur ce, je la sortis, lui adressa un vigoureux coup de brosse, qui lui enleva les saletés accroché sur sa robe au cour de la nuit et l'harnachai. Je partis ensuite vers le manège couvert, à cause du temps pluvieux qui était annonçait ...

Je rentrai aux écuries au trot moyen, sous un de mes ordres, demandai à Ogara de s'arretai devant son box. Celle-ci obéit, et stoppa devant la porte du box. Je la félicitai d'une grosse caresse, et d'une pastille à la menthe, qu'elle happa aussitôt. Je la pansa soigneusement, et lui refis sa tresse, qui s'était un peu défaite. Je lui changea ensuite son eau, lui nettoya son box, et lui remis du foin dans son filet à foin. Elle me regardait faire, attentive à mes moindres gestes. Puis je la rentrai. Dés qu'elle fut dedans, elle se précipita sur le filet à foin, d'où ellee arracha des brins de foin de ses dents jaunes, puis sur sa mangeoire, où elle mangea sa ration du matin, tandis que moi, je m'éloignais vers mon appartement .....

Etant donné que ma jument était déjà pansé, je m'eut qu'a la seller, et a la brider, puis je pris une longe pour attacher Willy, et partit vers la foret, où Linoa devait déjà m'attendre ....

Aujourd'hui, les chevaux sortaient tous la tête de leurs boxes, pour se prélasser au soleil. Profitant de cette belle journée de soleil, je sortis Ogara de son box,la pansa singulièrement, puis lui passai un licol et une longe, et l'emmena au pré, où elle pourrait profiter du soleil autant qu'elle le voulait.

La nuit était déjà presque tombée quand nous rentrâmes aux écuries, Ogara et moi. Apres une course digne d'un centaure, je l'attachai à un anneau fixé au mur, et entreprit de la panser. Je lui passai l'étrille, le bouchon, et la brosse douce. A ne surtout pas oublié aussi, je lui nettoyai ses sabots avec le cure-pied, pour les débarasser des petits caillous qui pourraient restaient coincés dans son sabots, ce qui pourrait entraîner des inflamations et d'autres problèmes encore. J'en profitai aussi pour lui passer un dernier coup de brosse douce pour enlever la terre ou le crottin et préparer le pied à recevoir de l'onguent, pour entretenir la corne. Je pris un pinceau, et frotta vigoureusement le produit sur la sole et la fourchette, puis sur la muraille, en insistant bien au niveau de la couronne, zone sensible où la corne se forme. Puis, je rentrai dans le box, pris le seau d'eau, le vidai, et le nettoyai. Puis j'y remis de l'eau propre, ainsi que dans le filet à foin, où je rajoutai du foin, et dans la mangoire, que je rempli de la ration du soir, c'est-à-dire, d'une dose d'avoine broyée et de pomme broyées, elles aussi. Et aprés un dernier calin, je partis en direction des appartement, où Willy m'atendait sans doute avec impatiente ....

Déjà, quand je suis arrivée aux écuries, l'académie était bien réveillée. Les premiers chevaux allaient s'entraîner à la fraîche. Ogara, elle, regardait avec attention ce qui se passait à quelques dizaines de mètres d'elle. Là, un grand étalon bai se cabrait, ruait ou cabriolait pour qu'on ne lui mette pas la selle. Une dizaine d'hommes se tenaient pouratnt de tous les côtés du cheval. Je caressai un peu Ogara :
- " Heureusement que toi, tu n'es pas aussi nerveuse et violente !!! "
Je la sortis de son box, et entrepris de la brosser, tout en suivant des yeux la scène. Finalement, un homme un peu plus futé que les autres conduisit l'étalon au pré, où il lui ota sa longe et son licol. Aussitôt, celui-ci se mit au galop, en suivant la lice de bois de l'enclos. Ogara lui adressa un hennissement, il lui répondu en enscensant. Ensuite, j'ai sellé et bridé Ogara, qui s'est laissée faire sans bouger. Puis, je l'ai emmené vers la carrière, à la deception du bel étalon bai ......

Je revins aux écuries au trot moyen. Je pris ensuite ma boîte de pansage, d'où je sortis le bouchon, que je passai sur la robe d'Ogara pour la faire briller. Je lui passai aussi une éponge humidifié pour les yeux et les naseaux, puis l'étrillai et utilisai la brosse douce pour lustrer la robe. Ensuite, trés important, je poussai de l'épaule le haut de son membre avant, et attrapai le fanon, puis le soulevai. Une fois décollé du sol, je lui passai le cure-pied avec attention. Ensuite vint le peigne à crin, afin de demeler les crins de la crinière et de la queue. Une fois terminé, sa robe charbonneuse brillait, et ses crins étaient fins et bien fournis. Ensuite, je lui changeai son eau, et lui remplis sa mangeoire, puis regagnai mon appartement, accompégné de Willy, qui, pendant ma séance de dressage avec Ogara, avait préféré resté aux écuries à m'attendre ....

Je rentrai dans le box d'Ogara, et me mis à la caresser :
- " Aujourd'hui, séance de balnéothérapie, rien d'autre. Cela te fera aussi un jour de repos .... "
Puis, je l'étrillai vigoureusement, allai chercher une longe, que j'accrochai à son licol, puis l'amenai vers la piscine, derrière les bâtiments des écuries.

( Séance de balnéothérapie + solarium )

Je revins aux écuries en montant Ogara à crue. Le solarium l'avait sécher, donc je ne fus donc pas mouillée.Ma jument semblait adorer l'eau, et surtout nager. Ensuite, de retour aux écuries, je pris une brosse douce et entrepris de la panser soigneusement mais pas longtemps. Une fois terminé, je la laissai attacher à un anneau scellé au mur, et entrai dans son box lui changeai l'eau sale. Après, je nettoyai son box, puis remit de la paille fraîche, et lui remplis sa mangeoire. Puis, je la détachai, et la fit regagner son box. Dés qu'elle fut dedans, elle se précipita vers la mangeoire, et hennit une dernière fois en me voyant m'éloigner.

Quant j'arrivai devant le box d'Ogara, celle-ci hennit plusieurs fois. Je m'approchai d'elle, puis la caressai longuement. Je la sortis, alors, elle se mit aussitôt à piaffer et à renacler. J'essayai de la calmer, en vain. Alors, je l'attachai devant son box à un des anneaux scellé au mur, puis fis mine de m'éloigner ..... Aussitôt, elle cessa son jeu. Je revins ensuite vers elle et lui adressai d'une voix claire :
- " Maintenant, tu arretes où je m'en vais !! "
Elle du comprendre le sens de mes paroles, car elle se tint tranquille jusqu'à ce que j'eus fini de la seller. Je me hissai ensuite en selle, puis tournai bride et m'en fus vers le parcours de cross .....

( Séance de cross ... )

Je revins aux écuries en menant Ogara en main. Je laissai sa longe glissait entre mes mains, puis la fit trotter doucement. Elle ne semblait pas boiter. Heureusement d'ailleurs. J'inspectai un peu son antérieur gauche, il n'étais pas chaud .... Ensuite, j'étrillai Ogara soigneusement, puis la rentrai dans son box, où l'attendait de l'eau fraîche, et une belle ration d'avoine, que j'avais mis ultérieurement ....

Ce matin, en arrivant devant son box, je n'entendis pas le hennissement carctéristique de Ogara. Inquiète, j'accélerai le pas, puis passai la tête par l'ouverture du box. Elle se leva lorsqu'elle m'aperçut, ne semblant pas souffrir de son antérieur gauche. J'entrai dans le box avec elle, et palapi le membre ; il n'était pas chaud. Malgrés tout, simple précaution, je décidai de la garder au box aujourd'hui, et d'appeler le vétérinaire pour faire une radio .....